Aurais-tu

Aurais-tu des embruns
A m’offrir en parfum
Quelques notes de piano
Pour apaiser mes maux
Aurais-tu des calmants
Pour qu’enfin, m’endormant
J’en oublie tes caresses
Qui reviennent sans cesses
Au fond de mes pensées
Ou tu t’y es encré
Aurais-tu d’autres images
Pour me faire être sage
A l’idée de ton corps
Posé comme un trésor
Sur le mien qui t’accueille
De mes mains qui effeuillent
Les courbes de tes reins
Et nos deux corps étreint
Aurais-tu pour terminer
Un chemin ou m’orienter

Pour tourner enfin cette page
ou d’en bruler toutes les images
Pour effacer ton visage à jamais
Et qu’enfin, cette fois, je t’oublierai

2 réflexions sur “Aurais-tu”

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